• A droite ou à gauche, il faut passer à gué. 

    Depuis Saria, puis O Cebreiro le nombre des pèlerins diminue sérieusement. De 10 toutes les 5 minutes ils sont passés à un ou deux, et encore. Cela tient je pense au fait que beaucoup ne font que les 100 derniers km, également parce que beaucoup sont partis afin d'arriver à Santiago pour le 24 juillet, jour de la fête de Saint Jacques.

     Arrivée à Riego de Ambros. 

    J'admire le travail nécessaire à cette route alors que mes pieds, eux s'y refusent. 

    Protection de la Vierge oblige. 

    Le petit ermitage San Sébastian.

    Et sa fontaine où je vais pouvoir remplir ma gourde (gourde que je suis j'ai oublié de le faire avant de partir) et mouiller ma casquette. 

    J'ai fait un tiers de la montée, c'est reparti avec la montagne tout autour. 

    La bruyère.

    Mais tout à coup, quelle tristesse, l'herbe repousse, pourtant l'odeur de brûlé est toujours présente. 

    Après une demi heure, la nature retrouve sa beauté. 

    La petite chapelle des cyclistes à El Acebo. 

    Boîte à pain, la grande porte pour le pain, la petit pour les sous du boulanger. 

     

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