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J37 /2. Navia. Tapia de Casariego
Étrange, un âne croisé okapi.
La maison des petits cochons.
C'est là que tout se décide.
C'est là et ce n'est pas là, 500 mètres avant, nous nous sommes retrouvées devant plusieurs routes, heureusement pour nous Anne et Auriol nous avait attendues. Grâce à leur parfait espagnol nous avons tous pu nous retrouver d'une part sur le bon chemin, d'autre part sur le plus court, ce qui n'est pas négligeable.
Près de l'église de Valdepares nous avons rencontré une petite dame toute contente de pouvoir parler français. C'était touchant de l'entendre nous parler de sa vie et nous conseiller sur les bons endroits où manger.
Ici on préfère les vaches à l'or. Il y a en effet polémique au sujet de l'ouverture ou de la réouverture d'une mine d'or qui obligatoirement polluera toute la nature.
Brève apparition de la mer.
Elle a l'air un peu penchée, je vous assure, pour le moment je n'ai bu que de l'eau et du café.
Les collines elles, moutonnent en douceur. Je ne m'y fie pas trop, dans deux jours ça va s'aggraver de nouveau. En attendant, profitons de ce presque plat.
Cette étape avec Martine a été vraiment agréable en devisant de choses et d'autres, en se taisant lorsqu'il fallait garder son souffle.
Et soudain, juste à côté de l'albergue, la mer, immense, splendide étalée devant nos yeux éblouis.
J'ai adoré laver mon linge au lavoir.
15 h, c'est l'heure espagnole d'aller déjeuner. Nous avons une faim de loup. Anne et Auriol terminent leur repas ils ont toujours une longueur d'avance. Ils nous conseillent la marmite de thon et pommes de terre en premier et un salpicon de poisson et légumes coupés finement en salade, le tout avec un vin blanc bien frais, un vrai délice.
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