Samedi 28 juillet 2018

A l'albergue, tout était parfait jusqu'à ce matin. Pas de café mais un infect succédané de nescafé comme j'ai rarement bu, d'ailleurs je n'ai pas pu. Il est quand même vrai qu'au dîner hier soir nous n'avions eu droit qu'à une eau fraîche et pure, pas la moindre goutte de vino tinto.

Fi du vin et du café, la nature est là qui ne déçoit pas. 

Un pan de falaise, que se cache-t-il derrière ?

La mer bien sûr. 

Dans les villages le boulanger distribue son pain de porte en porte. 

Quand je vois la hauteur de cette montagne je comprends de suite qu'il s'agit de celle que traverse le Camino Primitivo. Ce n'est définitivement pas pour moi cette année, je ne suis pas suffisamment en forme pour ça. 

Je vais me contenter de mes collines du Norte